Innover pour un avenir robuste et résilient

S’il est acquis qu’il faut agir pour atténuer les effets du changement climatique, les organisations doivent dès à présent se préparer à l’adaptation aux effets inéluctables de ce changement.

  • Éviter l’ingérable
  • Gérer l’inévitable

Au niveau national, le plan national d’adaptation au changement climatique PNACC vise à mettre en œuvre les actions nécessaires pour adapter, d’ici 2050, les territoires aux changements climatiques régionaux, par secteur d’activité.

A l’échelle d’une organisation, chacun doit également mettre en place des actions de manière cohérente pour gérer les conséquences inévitables du changement climatique. Tout en évitant la maladaptation.

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Foire aux questions

Quels sont les principaux risques climatiques ?

Ils varient selon la région du monde concerné. La France est concernée par de nombreux risques climatiques : canicules, sécheresses, fortes pluies et risques d’inondations associés, fonte des glaciers, montée des eaux et submersion… Une analyse plus fine est nécessaire au cas par cas pour identifier les risques spécifiques à l’organisation.

Comment s’adapter au changement climatique ?

Isoler les logements, surélever des bâtiments, déplacer des personnes, former les habitants… Les solutions sont multiples. Elles dépendent des risques auxquelles sont soumises les populations localement et doivent être étudiées au cas par cas.

L’homme peut-il s’adapter au changement climatique ?

Au-delà d’un certain réchauffement, les conséquences du changement climatiques peuvent être tellement forte que l’homme n’arrivera plus à s’adapter (température trop chaudes et humides, montée des eaux…)

Qu’est-ce que la maladaptation ?

C’est une réponse à un risque qui augmente ce risque. Face au risque climatique, des solutions techniques peuvent finalement augmenter le risque, elles doivent être évaluées au cas par cas.

Qu’est-ce que la TRACC ?

C’est la trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique qui repose sur les scénarios du GIEC et prévoit une hausse des températures moyennes de 2°C en 2030, 2.7°C en 2050 et 4°C en 2100.